Ribeira, Antonio – Raphaël Farriols -Preuves de l’existence des soucoupes volantes (1978)
Dans la soirée du dimanche 6 février 1966 à Aluche, près de Madrid, un engin volant, après avoir évolué le long de l'autoroute, atterrit dans un champ pour redécoller presque aussitôt. Un petit groupe de soldats (non confirmé) et quelques riverains observèrent l'incident. Cet engin était faiblement lumineux. Quatre témoins visuels ont été identifiés et interrogés dont un berger qui eut le temps de voir une porte s'entrouvrir et se refermer aussitôt, avant qu'il ne décolle.
Le 1er juin 1967 à 20 heures 20, une centaine de personnes campaient sous les bosquets, tout près du petit chât eau de San José de Valderas, lorsque apparut un engin lenticulaire, volant très bas au-dessus de la cime des arbres. Tout le monde avait pu voir pendant 12 minutes, l'engin qui planait et oscillait . Il n'y a pas eu d'atterrissage. Cet engin est décrit d'une couleur orangée par lui-même qui le distinguait des rayons du soleil couchant. Les béquilles d'atterrissage n'étaient pas sorties ; Un jeune père, qui était justement en train de photographier sa fille fit une série de clichés.
Là-dessus, dans les minutes qui suivirent, à près de six kilomètres de là, plusieurs témoins vécurent alors une aventure différente. L'O.V.N.I. se posa sur un chantier à Santa Monica, près de Madrid (il n'y a ici aucun témoignage de première main ; Mais sur les lieux de l'atterrissage, on devait trouver de petits tubes, lisses et brillants. Après analyse à l'I.N.T.A. (Institut national de recherches aérospatiales), ce micro morceau de métal se révéla être en nickel presque à l'état pur (son taux était supérieur à 99 %) et les rouleaux étaient en une matière plastique très résistante ne se trouvait pas à l'époque dans le commerce en Espagne ; la firme Dupont de Nemours la fabriquait aux Etats-Unis sous le nom déposé de “ Tedlar ” pour le compte de la N.A.S.A. qui l'emploie pour le revêtement des satellites artificiels.
Une enquête approfondie des deux journalistes espagnols Antonio Ribera et Rafael Farriols sur ces événements qui se déroulèrent tous dans les environs de Madrid.
261 pages – en français